Masques : les vaches aussi
30 avril 2020L’agriculture est, le deuxième émetteur de gaz à effet de serre après l’énergie fossile. La moitié de son empreinte environnementale est due aux émissions de gaz de l’élevage de bétail..
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L’agriculture est, le deuxième émetteur de gaz à effet de serre après l’énergie fossile. La moitié de son empreinte environnementale est due aux émissions de gaz de l’élevage de bétail..
La crise du COVID-19 doublera à 265 millions le nombre de personnes qui souffrent d’une crise alimentaire d’après une estimation du Programme alimentaire des Nations-Unies pour l’alimentation (WFP). Les 55.
La Russie a annoncé une suspension de ses exportations de blé, d’orge, de maïs et de seigle jusqu’au 1er juillet pour mettre son marché intérieur à l’abri d’une pénurie suite.
Nulle part ne peut-on mieux sentir la vie trépidante des villes ouest-africaines que dans leurs grands marchés alimentaires. Quiconque a déjà fait ses courses dans un tel marché ne peut.
Dans le Wisconsin et l’Ohio, les agriculteurs déversent des milliers de litres de lait frais dans des lagunes et des fosses à fumier. Un agriculteur de l’Idaho a creusé d’énormes.
Les dégâts causés par les criquets pèlerins dans le monde pourraient coûter $ 8,5 milliards selon la Banque mondiale si des mesures de contrôle de l’invasion n’étaient pas rapidement prises..
Les mesures de confinement et de quarantaine et la fermeture des frontières, en limitant les déplacements des abeilles, risquent d’impacter la production agricole mondiale. En effet, les récoltes des fermiers.
La crise du coronavirus est révélatrice d’une des plus grandes vulnérabilités des États du Golfe : ils importent 90% de leur nourriture alors que les chaînes d’alimentation mondiale sont perturbées. Le.
Le défi Cultivate@te du Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD) a reçu près de 500 candidatures de start-ups et d’équipes de R&D universitaires du monde entier, qu’il a ramenées.
En décembre 2019, le Kenya a décidé d’autoriser dans le pays la commercialisation du coton transgénique. « Elle doit permettre aux agriculteurs d’obtenir de meilleurs revenus grâce à une augmentation de la production », a expliqué le chef de l’État, Uhuru Kenyatta. Cette décision est largement passée inaperçue. Pourtant, elle représente un tournant. Le pays, qui s’était doté d’une loi de biosécurité en 2009, avait interdit toute importation de produit transgénique, qu’il s’agisse de denrées ou de semences destinées à la production. Les plantations GM (génétiquement modifiés) étaient proscrites. Seule la recherche, très encadrée, avait pu se poursuivre. D’un côté, l’African Agricultural Technological Foundation (AATF)[1], une organisation pro-OGM installée à Nairobi, pressait le gouvernement de lever son interdiction, pendant que de l’autre côté, Greenpeace l’appelait à maintenir l’interdiction afin d’empêcher « une prise de contrôle du système alimentaire par les entreprises ».