Depuis fin 2023, le gouvernement ghanéen peut délivrer des licences pour la culture, la transformation, la distribution, la vente, l’importation et l’exportation de cette plante dans le cadre d’usages thérapeutiques et industriels.
Les plus favorables y voient l’opportunité de surfer sur un marché à fort potentiel et accessible à une majorité d’acteurs ghanéens.
Les autres considèrent le risque de « vendre » ce potentiel à des intérêts étrangers et d’aggraver les problèmes de distribution électrique qui touchent le pays.
En effet, chaque année le Ghana enregistre des coupures d’alimentation, des vols et des branchements illégaux, entraînant des pertes équivalentes à un quart de la production !
Source : Africa News